Un petit épicier de quartier voit s'ouvrir un petit restaurant chinois juste à côté de son magasin.
Un jour le petit chinois vient voir l'épicier.
- Bonjour Monsieur, je voudrais 5 boites de Whiskas.
- Non non, pas question, je te connais tu vas servir ça à tes clients.
- Non Monsieur, j'ai trois chats.
- Ok amènes moi tes chats et on verra.
Le petit chinois montre ses chats à l'épicier et repart avec ses boites de whiskas.
Quelques jours plus tard, le petit chinois revient.
- Bonjour Monsieur, je voudrais 3 boites de Canigou
- Hors de question, ce coup ci tu ne me feras pas le coup, tu vas servir ça à tes clients.
- Non Monsieur, j'ai trois Labrador.
- Amènes les et on verra.
Le petit chinois montre ses chiens et repart avec ses boites de Canigou.
Quelques jours plus tard, le petit chinois entre dans l'épicerie avec un paquet à la main.
Il le pose sur le comptoir, l'ouvre et laisse apparaître quelque chose qui pourrait faire vaguement penser à des boulettes de viande.
L'épicier se dit que finalement il est bien gentil ce petit chinois puisque il lui apporte une de ses spécialités pour lui faire goûter.
L'épicier trempe son doigt dans le contenu du paquet, goûte.
- Mais....c'est de la mer...
- oui, je voudrais trois rouleaux de Papier WC, s'il vous plaît.
"Inutile de me donner des conseils, je sais me tromper tout seul."
Transmise par un médecin du CHU, et présentée comme assez réaliste...
- Bonjour ! C'est la réception ? J'aimerais parler avec quelqu'un à propos d'un patient qui se trouve chez vous. J'aurais souhaité connaitre son état de santé, savoir s'il va mieux ou si son problème s'est aggravé.
- Quel est le nom du patient ?
- Il s'appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302.
- Un instant je vous prie, je vous passe l'infirmière.
Après une longue attente :
- Bonjour, ici Françoise l'infirmière de service. Que puis-je pour vous ?
- J'aimerais connaitre l'état du patient Jean Dupont de la chambre 302.
- Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.
Après une plus longue attente :
- Ici le Dr. Jean, le médecin de garde ; je vous écoute.
- Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l'état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302.
- Un instant, je vais consulter le dossier du patient.
Après encore une autre attente :
- Huuuummm, le voici : il a bien mangé aujourd'hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain.
Si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d'ici le week-end.
- Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci.
- Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu'un de très proche, peut-être son frère, ou son fils ?
- Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre et personne ne me dit rien. Je voulais juste savoir comment je me porte.
Excellente !
Et assez réaliste en effet.
Il faut mettre un frein à l 'immobilisme - J.C. (non pas celui là, l 'autre )
Deux gamins sont assis dans la salle d'attente d'un dispensaire médical.
L'un des deux pleure comme une madeleine.
- Pourquoi pleures-tu ? lui demande son pote Lionel.
- Je viens pour une analyse de sang, répond Jean-Marie.
- Eh alors! C'est ça qui te fait peur ?
- Oui. Pendant l'examen ils te coupent le bout du doigt. C'est mon frère qui me l'a dit !
À son tour Lionel commence à sangloter. Le premier gamin hoquette de surprise. Son pote Lionel le téméraire qui pleure ?
- Pourquoi tu pleures, toi ?
- Parce que moi, je viens pour une analyse d'urine .
Une femme rencontre un très bel homme dans un bar.
Ils parlent, ils se plaisent, ils partent ensemble. Ils arrivent chez lui, et il lui fait visiter son appartement.
Elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours.
Une centaine de petites peluches sur des étagères qui font toute la largeur du mur.
Les tout petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens, bien rangés sur l'étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l'étagère du haut.
La femme est surprise de voir que cet homme, viril, a une aussi grande collection d'ours en peluche ; elle ne montre pas son étonnement, mais elle est émue par la sensibilité de cet homme.
Elle se retourne vers lui... Ils s'embrassent... Ils s'arrachent leurs vêtements et font l'amour passionnément. Après une nuit intense en ébats et en émotions, ils restent couchés là avec l'esprit un peu dans le brouillard, la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant :
"Alors, heureux ?"
Et l'homme lui répond :
"Oui, ça peut aller... Tu peux choisir un lot sur l'étagère du bas."
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