Non.
Industrie oui, nucléaire non.
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Vraiment pas ... mais j'hésite à t'en dire plus, car le moindre indice te conduirait immédiatement à la réponse ...
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Ah ... on y est mais où on est ? voilà la question ! en tout cas l'endroit est moche, c'est sûr ... drôle de conversion ...
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C'est normal puisque je ne te l'ai pas dit mais j'ai encore donné un indice (que tu n'as pas vu ; il faut dire qu'il est particulièrement tordu ; tu connais un peu le milieu du rap ?) ; géographiquement, tu n'y es pas. C'est beaucoup plus à l'Est ; ou à l'Ouest ; ça dépend dans quel sens on va ...
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Je pense qu'il s'agit de la Mine Mir ( Mir Mine ou Mirny Mine en Anglais ), Sakha, Sibérie Orientale, mine de diamants à ciel ouvert.
PS: je connais encore moins le rap que le foot, si jamais c'est possible...
C'est exactement ça
"Drôle de conversion", appliqué au monde du rap, aurait pu te faire penser à l'ancienne rappeuse Diam's, qui t'aurait conduit immanquablement à découvrir la nature de ce MOED. Mais ce ne fut pas nécessaire, apparemment
La mine Mir que l'on voit ici, est citée régulièrement comme l'un des exemples les plus affligeants des dégâts infligés par l'homme à la planète Nature ... C’est la plus grande mine de diamants au monde et la quatrième plus profonde excavation au monde, située en Russie en effet.
La mine forme un immense trou de 525 m de profondeur et 1200 m de diamètre. Dans les années 1960, la mine Mir produisait jusqu’à 2000 kg de diamants par année, mais depuis que la mine à ciel ouvert est désaffectée, remplacée par un réseaux souterrain de tunnels, ce chiffre a diminué à moins de 400 kg par an ...
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Ouf ... ça pourrait être n'importe où ... au hasard : Mexique ?
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En voilà un indice qu'il est précieux ... et qui, vu la disposition assez particulière de ces immeubles, m'a fait penser à la Grande Muraille (de Chine) ; le seul endroit surnommé en référence à cette construction est peut-être la Muraille de Chine située dans le quartier Montchovet à Saint-Étienne, mais cet ensemble d'immeubles a été détruit en 2000 d'après mes informations, donc simple proposition sans doute inexacte vu le présent utilisé dans les posts précédents, qui laisserait supposer que ce bâtiment existe toujours =>
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Tu es très près de la solution...
Il s'agit d'un autre lieu également surnommé "Muraille de Chine"...
Et le lieu en question est situé en France, non loin de ce que tu proposais...
L'endroit à situer plus précisément est à chercher un peu plus à l'Ouest et très légèrement plus au Nord que ce que tu proposais...
Et puisque tu es déjà très près du but, une précision supplémentaire : au moment où je poste et sauf erreur de ma part, l'avenir de cette cité pour les années à venir est actuellement incertain.
Certaines personnes souhaiteraient que la cité en question soit rénovée, alors que d'autres préféreraient qu'elle soit entièrement détruite pour être remplacée par autre chose... Peut-être de nouvelles habitations...
Les habitants de la cité eux-mêmes étaient aux dernières nouvelles partagés sur la question...
Avec "un peu plus à l'Ouest et très légèrement plus au Nord" de Saint-Étienne, j'ai pensé à Clermont-Ferrand
Or il se trouve que dans le quartier Saint-Jacques - Clermont Sud une polémique est en cours : faut-il ou pas détruire cette « muraille de Chine » ?
La presse en parle (ici, ici ou encore ici) ; voici donc ma proposition
Correcte ou pas, elle m'aura permis, grâce à cette session d'un grand intérêt , d'en apprendre un peu plus et de me documenter sur ce phénomène des « barres urbaines » en France, un phénomène et une problématique que je ne connaissais pas du tout, n'en ayant jamais entendu parler ...
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Ta proposition étant parfaite, je n'ai pas grand-chose à ajouter.
J'avais pensé à cette session pour avoir moi-même assez récemment entendu parler de cette fameuse "Muraille de Chine" de Clermont-Ferrand.
Et la photo que j'ai proposée m'a semblé intéressante d'un point de vue photographique.
Quant à ce phénomène qui constitue en effet un vrai casse-tête pour les responsables politiques français d'aujourd'hui, il trouve son origine dans un mouvement d'urbanisme mal maîtrisé dans les années 1960 et 1970.
À l'époque, des usines se développaient encore assez massivement, principalement en périphérie des grandes villes.
La population ouvrière se développait donc autour de ces usines, venant souvent de régions de province française (désertification des campagnes), ou d'Afrique (sub-saharienne et Maghreb).
Il fallait donc loger rapidement de nombreux ouvriers et leurs familles en leur proposant des loyers peu élevés.
Durant cette période des années 1960 et 1970, une grande vague de construction d'immeubles eut donc lieu.
Des grands immeubles alignés les uns à côté des autres dans ce qu'on appelait parfois des "cités ouvrières".
Mais ces cités étaient éloignées des centre-villes et de toute activité intéressante.
On n'y trouvait à l'époque que fort peu d'arbres, de fleurs, de commerces, d'activités culturelles ou sportives, ou associatives, ou autres...
De sorte qu'on a parfois appelé ces cités "des cités-dortoirs". Les gens habitaient ces endroits situés assez près de leurs lieux de travail, mais rien ne rendait ces cités attractives.
Avec le temps, les immeubles -parfois moches dès leur construction- ont mal vieilli, ont mal été entretenus...
Et avec l'augmentation du chômage, la délinquance et la violence se sont développées...
Bref, aujourd'hui, ne restent que des résidences plus ingrates que jamais, et qu'il faut donc en effet rénover en profondeur ou détruire pour en reconstruire d'autres...
Avec cette fois-ci des exigences bien plus élevées du point de vue de l'architecture, de l'esthétique des constructions et de leur environnement, mais aussi du point de vue de normes écologiques, du point de vue des activités humaines et sociales, et de l'attractivité de ces lieux de vie...
Les "Murailles de Chine" sont des exemples extrêmes de ces immeubles impersonnels et démesurés et parfois construits trop vite, sans vision à long terme, voire en dépit du bon sens...
Ceci dit, je ne sais pas exactement à quel point ce phénomène est spécifiquement lié à la France...
Je ne connais pas assez bien les situations des autres pays pour me prononcer sur ce point...
Ah ben si, j'avais tout de même un truc ou deux à ajouter.
Bien joué, à toi la main !
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Je ne vois rien sur la photo qui puisse - à ce stade - me renseigner sur l'endroit...
L'idéal serait que je sois au moins capable d'identifier l'arbre... Mais ça n'est pas le cas...
S'agit-il d'un endroit où il serait difficile de faire pousser un arbre ?...
Une terre de conflit ?...
Un endroit à forte portée symbolique ?...
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Purée commentatrouvé ? moi qui croyais que ce serait trop dur ...
J'avais aperçu cette actu sur cette autre page mais le contenu est le même, et l'idée m'était venue d'en parler, à la fois pour dénoncer le comportement imbécile de certains touristes et aussi, faut-il le souligner, de cet agriculteur ...
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Sacré paysage en tout cas ; cet endroit est-il célèbre ? (le contraire m'étonnerait, tant il semble spectaculaire ...)
Pour commencer je proposerais bien les États-Unis
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C'est dans la Cordillière des Andes, alors ?
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Peut-être le Mont Roraima, càd ici simple supposition, vu que je n'ai jamais entendu parler de cet endroit qui, par ailleurs, semble offrir, apparemment, qqs vues superbes
PS. Finalement je crois que c'est bon je viens de lire ceci :
Les récits de la première ascension du mont Roraima à l'époque victorienne ont inspiré Arthur Conan Doyle pour l'écriture de son roman d'aventures Le Monde perdu en 1912. Cet ouvrage, dont plusieurs autres romans, films, téléfilms et séries télévisées ont été tirés ou se sont inspirés par la suite, raconte les aventures d'une expédition partant à l'ascension d'un tepuy à la recherche d'une flore et d'une faune préhistoriques, dont des dinosaures et des hommes-singes. Appliquée à la réalité, la description de l'ascension de la falaise ferait passer les personnages par le monolithe situé à l'extrémité méridionale du mont Roraima. L'un de ces films inspirés du Monde perdu est Là-haut, un long métrage d'animation en images de synthèse des studios Pixar. Pour le concevoir, une équipe du film s'est rendue sur le mont Roraima afin d'observer ses formations rocheuses, sa faune et sa flore.
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