Bonjour ! J'ai une rédaction à rendre sur papier imprimé pour demain, la voici en dessous, pourriez-vous jetter un coup d'oeil dessus et me dire si vous repairez comme ça par çi par là des petites fautes d'orthographure ?

Ca serait vraiment chouette marci :P !

Dans le lit étaient posé la plupart des livres dont j’avais eu besoin lors de mes très longues et pénibles révisions. Il était déjà vingt-trois heure et je n’arrivais toujours pas à trouver le sommeil. Imaginez dix-neuf années de votre vie passée à trimer sosu les fouets des enseignants, à vivre au rythme des examens, à n’avoir comme seul but un bilan scolaire exceptionnel. Cette vie-là, c’était la mienne, mais à partir de demain tout changera, je n’aurais plus à user mes jeans sur les bancs de l’école qui ne m’ont que trop connus, je n’aurais plus à me rendre, les jambes tremblantes, dans les salles d’examen froides et austères. J’écartais les livres sur le bords de mon lit pour m’y étendre, je fermais les yeux quelques secondes avant de les ouvrir brusquement. Toute ma vie jusque-là était vouée aux études, bien que je ne regrette pas ee temps, j’avais u moins un but, une voie tracée, mais qu’allais-je faire après avoir reçu le diplôme qui sonnerait la fin de mes études ? Ma vie était tellement remplie que je n’avais jamais pensé plus loin que les examens finaux. Je n’avais même jamais osé pensé un jour recevoir ce diplôme, bien que je n’aie jamais eu en dessous de la mention « Très Bien » durant toutes mes années scolaires. Mais ce jour que j’attendais et en même temp redoutais depuis si longtemps arrivait à grands pas.
Cinq heure quarante affichant le réveil, ce n’était pas me lever tôt qui me faisait souci, le matin j’étais de bonne humeur et plein d’énergie. Je pris ma veste et m’en alla rapidemment. Passant devant la boulangerie je ne pus m’enpêcher de succomber à la tentation de m’y arrêter quelques instants humer la bonne odeure de pain chaud de bon matin. Par la peitte fenêtre sur le côté de la boutique je pus voir l’artisant boulanger s’affairer à ses fourneaux pour régaler tout le village avec son pain et ses confections personnelles. Reprenant mes esprits je réalisais que le train que je devais prendre arrivait bientôt. En courrant à perdre haleine j’arrivais à la gare et pris le train qui me conduisit comme tout les matins, loin de mon petit village. Comme j’arrivais en avance je fis une pause vers la machine à café en repensant à la boulangerie, non pas car j’avais faim mais je ressentais une envie irreprescible de mettre la main à la pâtte, de créer quelques chose, de voir le bonheur dans les yeux d’un enfant mordant à pleines dents dans une brioche de ma confection.

Je sais vais désormais ce que je voulais réelement, c’était de rendre les gens heureux en les régalant. Je jetta le gobelet de café à la poubelle, pris la porte et retourna dans mon village, Je poussais la porte de la boulangerie et demanda à parler avec le boulanger. Le diplôme, mes parent le reçurent quelques jours plus tard et purent l’accrocher fièrement au salon, mais depsui ee jour tout les matins je me lève tôt pour garnir votre table du petit déjeuner.